Grind School se traduit par «Grind School» et ce quatuor (en quelque sorte) du nord de l’État de New York a fait à peu près tout ce qui était en son pouvoir lors de leurs débuts complets pour amener l’auditeur à cette institution d’apprentissage particulière. Endoctrinement offre un affichage brut et dépouillé de la mouture de la définition du dictionnaire, distillant les rudiments et les blocs de construction du genre dans un exemple simple et sans fioritures. Il y a cependant deux curieux et passionnants dans cet album. Premièrement, il peut servir de document pour les débutants quant aux caractéristiques d’un album de grind dans tout, du son et de l’instrumentation aux échantillons et aux intermèdes de bruit. Deuxièmement, comment il existe également de telle manière que les vétérans blasés qui ne penseraient jamais à acheter un album sans photographie / illustration en noir et blanc granuleuse sur sa couverture devraient découvrir quelque chose de valeur ici. Les amis, n’hésitez pas à vous enthousiasmer Grind School comme quand Wormrot et Troubles a émergé avec des résultats étonnants, attrayants et puissants, mais familiers.
Avec des membres actuels et anciens de Tuer le client, Destructeur créateur, Corbillard, Votre cerveau sous la drogue, Melora et une solide poignée d’autres, le Grind School-les gens connaissent sans aucun doute leur entreprise et prennent des morceaux précis d’inspiration, d’influence et de référence depuis le début Mort par Napalm, Terrorisateur, Guerre d’insectes, Phobie, Nasum, Son pourri et ainsi de suite. Il est à peine temps de reprendre votre souffle et encore moins de jouer à « Spot ‘Where Have I Heard that Riff Before?' » Étant donné que, en dehors du morceau / outro de plus de 10 minutes, la majorité des morceaux ici craquent à peine une minute ou s’en tiennent à le statut inférieur à 60 secondes. Endoctrinement est un album que vous avez déjà entendu sous diverses formes et modes, mais comme il rugit si vigoureusement et authentiquement, il n’y a guère de temps pour y penser.
Le son de la guitare à cliquet, la basse soufflante et la batterie à piston à vapeur ne doivent absolument pas être écartés car il y a réutilisation et recyclage en cours: le nombre de fois et le nombre d’endroits où vous avez entendu le riff qui ouvre l’album dans «Inspirational Significance» est incalculable; le coup de poing de «Private Vice Public Benefit» a été défendu par Destructeur de cochons d’innombrables temps au fil des ans et plus encore par leurs acolytes; le pédalage vertigineux de «A Ladder of Seven Rounds» est un pilier familier; et le style vocal ponctué de Katerina Economou a déjà trouvé une maison confortable de longue date Mort par Napalm, Spazz et Victimes capitalistes. Heck, même le bruit strident qui ouvre / ferme des pistes comme «Zalongo», «These Leeches» et «Hyper-Victim» rappelle Le criquet.
Ce que l’auditeur retire Endoctrinement sera décalé par le nombre d’albums de grind dans la collection et la playlist de cette personne. Si vous ne pouvez pas en avoir assez, donnez Grind School un spin vous permettra de pouvoir dire à vos amis que vous n’êtes pas un vieux brumeux aux goûts de vision tunnel qui n’écoute que les classiques. Si pour une raison inimaginable Endoctrinement était votre exposition de dinde froide au grindcore – cependant, étant donné le nombre de livres et de documentaires sur le sujet, il est étonnant de penser que quelqu’un n’est pas tombé sur Chute du monde, Écume, Inspire Expire ou l’un des 14 autres quintillions d’albums autrement disponibles – alors, il n’y a guère de meilleure introduction aux bases.
Cependant, quand vous prenez en compte le surnom et le titre de l’album du groupe, ce groupe est peut-être une entreprise conçue pour servir à la fois de passerelle / d’introduction aux bases du genre: rien de plus, rien de moins, sauf beaucoup du bruit fait et du plaisir dans le processus. Quoi qu’il en soit, il existe de bien pires moyens de perdre environ 15 minutes de plus que cela.